Monsieur Sharon aurait-il lu les souvenirs du général de Saint-Arnaud à moins que ce ne soit ses nouveaux colons venus d'Algérie qui lui ont expliqué la méthode. Il devrait cependant tenir compte de la  conclusion.

Terroristes  ou Gens de sac et de corde  ont toujours le dernier mot contre les envahisseurs.

Extrait de l'ouvrage de Robert Letan :  «Le temps du Mépris ».

 

 

 

Ce n'est pas comme ces Ouled Amor

Gens de sac et de corde, pillards et bandits, ayant conservé depuis trois siècles, la pire des réputations  Monsieur le Directeur Général des communes mixtes devait vouloir faire comprendre à ses patrons  comment voulez-vous que je vous trouve des soldats avec des gens pareils ? D'ailleurs un administrateur nommé Laussel le dit bien  Je n'ai jamais rencontré pendant ma longue carrière de brutes pareilles aux habitants de ces douars.

Voyons maintenant la bonne méthode, celle du Général de Saint Arnaud, qui savait y faire pour ramener les populations dans le devoir  deux soldats furent assassinés pendant la nuit. Le général  donna vingt-quatre heures aux indigènes de la fraction pour livrer les coupables.

 

 

Au lieu d'obéir ceux-ci abandonnèrent le pays. Les troupes se lancèrent à leur poursuite ? Vingt cinq fugitifs furent saisis et fusillés sur le champ, les récoltes furent incendiées et le village d'Oulja détruit. Cet exemple calma toutes les velléités d'insoumission  Et n'est ce pas la seule méthode avec des gens dont l'auteur du  rapport, nous dit : Ils n'ont pas changé, ils sont toujours, depuis la conquête arabe, au même niveau social inférieur  Dès les premières conscriptions en 1912 ; des oppositions se manifestent et en 1914  un Cheikh peut déclarer à un administrateur : On peut augmenter nos impôts, nous prendre tous nos biens, mais nous ne donnerons pas nos enfants Mais qu'importe à l'administration française, la guerre consomme de l'homme. L’Algérie en a trop, et les administrateurs n'ont qu'à se  débrouiller pour fournir les lots.

 

 

Chez l'auteur 520 pages au format A5 -  950 références de personnes et de lieux -  40 photographies hors texte - 1 carte

Vente dans les principales librairies du Maroc ou chez l'auteur

Prix en Europe franco de port : 25 €  Prix au Maroc : 250 Dh

 

 

Robert LETAN - 36 rue de l'Isère - 20100 - Casablanca - Maroc

Tél. 00 212 22280774

Mail : r.letan@casanet.net.ma

 

 

 

VIVA LA PUNK

http://ibelgique.ifrance.com/vivalapunk

 

Text Box: Le coup de cœur de Cris
Pour un dessinateur très chouette
http://perso.wanadoo.fr/eric.penard

 

Ben on est 5 personnes (Homer, Blutch, Renaud, Kat et Beruriere) à s'être dit qu'il n'y avait pas assez de concerts Punk en wallonie. Du coup, on s'est dit "ben pourquoi on en organiserait pas un didonc??"
Alors voilà, ça a été fait le 17 mai 2002 notre premier concert!
Depuis, on a pleins d'idées d'autres groupes à faire venir et bientôt viendra un 2me, puis un 3me,…
Nous organisons des concerts Punk & Ska en Belgique (régions Tournai, Mouscron, Binche, Waregem, ...).
Nos concerts et soirées ont l'esprit Bérurier !
Entrées pas chères, voire gratos quand c'est possible, jongleurs, clowns..., stands anti-fasciste...

 

Text Box: Pour toutes annonces dans ces pages, merci de nous faire parvenir vos articles avant le 20 courant                                        Gabriel
Alternative.libertaire@teledisnet.be
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Text Box: Mémoire et création imbriquées au Grand Hornu
 
Le site houiller proche de Mons, en Belgique, renaît sous la forme d'un Musée d'art contemporain de la communauté française (MAC's). La réhabilitation de cet ensemble industriel du XIXe siècle, inspiré de l'architecture  Ledoux, marie sauvegarde du patrimoine et ambition muséale.

 

Voir Anargenda concert le 02

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ci-après, la critique de "Etre et avoir" un film sur la vie d'un instit.

 

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Salut potes et potesses,

 

Je profite de questions sur le film pour répondre autant que je le peux à chacune et chacun puisqu'à Millau nous avons eu la chance de taper sur l'épaule de l'Instit ! (il était très doux)

 > Le film : techniquement excellent. Le réalisateur (Nicolas Philibert) a fait des choix esthétiques et éthiques. Du bon document, (à part la scène coluchienne où ils cherchent la gamine égarée !)

 > La vie : C'est à mon avis le sens du film. La vie de l'instit. Celui qui fait le choix de vivre parmi les autres et de chercher la voi du milieu. C'est-à-dire le respect, l'écoute de l'autre.

Comment peut-il résister à la pression de l'admistration, des programmes...? Il intègre calmement ce qu'on lui demande de faire à la réalité des choses.

 > Nous nous sommes reconnus très vite, l'instit du film et l'autre dans la salle.

Quand je lui ai dit qu'il me fallait du temps pour travailler, il a paru soulagé. Ça existe !

Attention aux laxistes de tous poils, ce n'est pas le propos. Du temps, cela signifie pour comprendre l'autre.

 > Notre travail consiste bien à comprendre l'autre. Et à lui donner ce que nous sommes capable dans notre profession de partager : "l'amour et la connaissance".

 > L’être et l'avoir.

Transmettre tout ce qu'il est possible de soi, et avec distance, c'est à dire sans trop d'affectif mais avec beaucoup de volonté.

 

Quel boulot !

 En fait, c'est le boulot de toute une vie... en famille, avec sa petite soeur... tenter de rendre l'autre autonome, se distancer, et avoir dans le coeur "je t'aime" mais faut qu'on se quitte parce que ... faut qu'on se quitte...

 

Voilà le travail de l'instit, mais surtout le travail de l'être humain

  

 

* PAT

 

Et si le Web m’était conté

 

Il est de plus en plus rare de lire un texte dans Alternative Libertaire ou autre part, sans tomber sur un lien Internet ou une adresse E-mail !

Or la plupart d’entre nous sont dépassés et se sentent perdu devant la machine infernale ! C’est pourquoi, ayant quelques menues compétences dans le domaine informatique, je profite de ces pages cultures pour aider ceux qui en auraient besoins !

En effet, vous vous poser des questions ! Nous avons peut être la réponse ! Qu’il s’agisse du fonctionnement d’un programme ou de savoir ou se procurer gratuitement tel ou tel programmes, nous répondrons a vos questions, directement par courrier, par E-mail, voir pour les questions les plus fréquentes, directement dans ces pages.

Alors c’est partis, envoyer moi vos questions !

Par la poste : Gabriel Buendia-Aulet

12, rue du Rhéna 4460 Grâce-Hollogne     ou   par courriel

alternative.libertaire@teledisnet.be

Gabriel

On ne nous a pas appris l'écriture... La parlécriture vient comme une revanche... Elle est une percée qui enfreint la convention... Une écriture de cri... Une écriture de confidence... "Le point de départ de cette aventure, l'étincelle qui a mis le feu aux poudres a été le désir d'une formatrice de travailler la peinture dans les groupes d'alphabétisation pour adultes, désir suscité par un amour pour cet art noble... Ensemble, nous avons commencé à penser à ce projet, à le mûrir et c'est à partir de ce moment-là que les choses sont venues à nous tout naturellement".
Nathalie Rozza

Instrument de communication, la langue est aussi signe extérieur de richesse et un instrument de pouvoir.
P. Bourdieu

contact : Nathalie Rozza - Anne Delhaye
Lire et Ecrire Centre et Borinage
rue des Amours, 3    B7100  La Louvière
tél.: 00 32 (0)64 260974

 

INTERVIEWS Ya Basta
Par Sylvain

 

Un petit historique?
Le groupe est né il y a 8 ans sous le nom de Chiapas, à l’époque la formation basse guitare chant et boîte à rythme était influencée par les groupes rocks alternatifs
comme les Bérus, ND, les Dileurs. Très vite on a cherché d’autres zicos pour enrichir les compos, K’no –au chant aujourd’hui- a rejoint la formation en 1994. On a eu pendant trois ans un trompettiste.
En 1995 changement de nom, on reprend le cri de guerre des zapatistes Ya Basta. Le contexte politique était tout à fait différent et la lutte des indiens du Chiapas nous semblait être le seul mouvement d’opposition au capitalisme.
De 96 à 98, la formation basse guitare, batterie et chant nous conduit à jouer du ska-punk et quelques morceaux punk-rocks. L’idée nous vient d’enrichir la formation par des cuivres d’où l’arrivée de Manu au trombone et de Mr Comar au sax. 1999 premier EP, 2000 on produit une seconde démo avec présence des cuivres. 2000 arrivée de Marco au sax et 2001 Iky à la trompette.
On enregistre en autoproduction, l’album en juin. La formation actuelle est la suivante : Basse Lolo, Batterie Niko, Chants Ol et K-no, Guitare Cidou, Sax Marco, Trombone Manu, Trompette Iky et notre cher manager Lou Bill.
Les influences sont nombreuses mais lorsqu’on nous définit on parle d’influences rocks, ska 2-Tone et ska jamaïcain. On préfère quant à nous, l’appellation de Rock’n ska militant !

Vous faites dans deux chansons référence au monde ouvrier, que
faites-vous dans la vie? Pensez-vous que l'on peut être fier d'être prolétaire?

Ya Basta ! : Dans le groupe il y a des salariés, des intérimaires, un chômeur et un étudiant, en ce sens on s’intéresse aux luttes sociales.
Ol : La chanson ouvrier est plus une description qu’une sollicitation. A chacun de sentir son mode de vie. On peut être fier d’être prolétaire dans le sens premier du
terme fierté : une satisfaction légitime de soi. Le fait de ne pas avoir un faible capital économique ne doit pas conduire à la culpabilité, voilà en quoi on doit être
fier. Mais la fierté n’est pas un appel à la résignation et le mode de vie prolétaire est tout sauf une fin en soi. Nous ne nous battons pas pour devenir plus pauvre
mais pour une répartition des richesses permettant d’offrir à chacun l’accès à l’éducation, à la santé, etc…. En revanche la culture des «dominés» n’a rien à
envier aux catégorie dominantes. C’est parce qu’elle est rejetée par des institutions, comme l’école, les administrations que certaines catégories sociales restent
exclues du pouvoir et subissent la domination des catégories à fort capital économique…. Bourdieu’s not dead
En résumé on ne doit pas avoir honte d’être prolétaire !
K-no : Les prolétaires d’aujourd’hui ne sont pas forcément que des ouvriers.
Vous êtes un groupe dit "militant", êtes-vous engagés dans des assos, orgas, syndicats, partis.. ?
Cidou : Je suis militant à la CNT.
Marco : J’étais militant à la FA, aujourd’hui je ne préfère pas appartenir à une organisation structurée.
Lolo : Je soutiens l’antifascisme, l’anticapitalisme et l’antisexisme mais je ne les place pas dans une appartenance à une organisation.
Ol : J’étais militant à la Fédération Anarchiste puis à la CNT. Aujourd’hui je suis sympathisant…J’admire ceux qui arrivent à consacrer autant de temps à ces activités. Heureusement qu’ils sont là. Mon militantisme se fait par les concerts de soutien.
K-No : J’ai eu le même parcours que Ol. Aujourd’hui je suis militant dans une association d’éducation populaire.
Ya Basta est le cri de guerre des Zapatistes, suivez- vous encore de près les événements du Chiapas? Qu'en pensez-vous???
Ya Basta : Notre nom est le reflet d’un contexte politique. En 1994 tous les mouvements d’extrême gauche s’engageaient en faveur de la lutte Zapatiste. Nous nous
sentons toujours aussi proche du mouvement originel. Nous sommes beaucoup plus sceptiques sur ces finalités mais
nous croyons que le terme Ya Basta reste toujours d’actualité.

A quel niveau concevez vous le rapport entre la musique et la politique? Séparez vous les deux distinctement ou alors
sont-ils liés?

Ol : Observe nos textes et tu auras la réponse. La musique a toujours été un moyen d’expression et de contestation. Nous souhaitons garder cet esprit. Certains considèrent que la politique ne doit pas apparaître dans la musique. Peut-être qu’ils trouvent là une excuse au fait de ne pas s’engager et de ne pas vouloir comprendre ce qu’il se passe autour d’eux. Parler d’alcool et d’histoires d’amour laisse la conscience tranquille. Au fond, je trouve ça égoïste que de ne pas vouloir entendre parler de politique : la politique c’est avant tout la vie de la cité, les autres.
Ya Basta !: Pour Ya Basta , les deux sont intimement liés. Les grands courants musicaux ont tous eu un rôle social ou politique mais on peut aussi apprécier une musique pour le simple plaisir d’écouter.

Il y a le logo SACEM sur votre album, vous y êtes adhérents? Que la réponse soit oui ou non, pourquoi?
Ya Basta : Le logo est obligatoire pour le pressage. Nous sommes en cours d’adhésion pour la protection de nos
chansons. Suivant un système de redistribution la Sacem reverse proportionnellement les gains des groupes non inscrits aux groupes inscrits. En somme, les groupes non inscrits dont un titre passe à
la radio, ne touchent rien et l’argent prélevé par la Sacem sera reversé à Johnny Halliday ou à Pascal Aubistrot.

 

Jésus ?

Une histoire qui ne peut pas être de l’Histoire

 

Il n’est, pour l’instant, disponible que par Internet en version numérique ou papier (envoi par la poste).

Adresse:  http://www.publibook.com

Les deux premiers chapitres sont lisibles sur le site.
En attendant, voici un résumé pour vous donner une idée du contenu.

Cet ouvrage présente une thèse inédite sur les origines du christianisme. Elle est déduite de plusieurs constats.
— Les Évangiles sont des écrits d’origine sectaire. Imprégnés de surnaturel, remplis d’anomalies, de contradictions et d’invraisemblances, ils ne sont pas fiables sur le plan historique.
— Par ailleurs, bien qu’on l’ait prétendu, aucun témoignage ou trace matérielle ne confirment l’existence du Jésus évangélique, ni celle d’un obscur prophète dont il serait la légende.
— Ces récits ne peuvent pas être la mise par écrit de traditions orales issues de témoignages populaires sur des réalités vécues. Ils laissent voir en filigrane toutes leurs sources d’inspiration, décalques de textes antérieurs, reprises d’idées et de modèles bibliques. L’exploitation habile des passages dits prophétiques, le jeu très subtil de la symbolique, tout y dénonce des élaborations savantes.
— L’analyse linguistique montre que les premières versions ont été réalisées en hébreu, une langue qui ignore nos temps des verbes (passé, présent et futur). D’où l’idée que les Évangiles ont été conçus comme des écrits d’anticipation et qu’ensuite, traduits en grec, ils ont été pris pour des narrations biographiques.
La thèse avancée explique pourquoi et comment des rédacteurs ont écrit ce qui n’était jamais arrivé, sans toutefois inventer ni mentir. Leurs différentes prévisions, motivées par l’espérance eschatologique du premier siècle, parlent d’un Messie de synthèse qui annonce l’imminence de la fin des temps aux bons Juifs, en leur recommandant une morale d’urgence. Ce Jésus ne fonde pas une nouvelle religion universelle. Le christianisme est né à partir de textes et s’est construit, en milieu hellénistique, par un long travail d’interprétation théologique et d’adaptation cultuelle.

 

 

Pour rappel la biblio virtuelle de FRATANAR est online sur

http://www.fraternitelibertaire.free.fr

Plus de 800 textes à consulter ou télécharger gratos !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Text Box: DISTRIBUTION:
les disques nabate sont disponible directement 
(Écrivez à commande@nabate.org),
 et également chez les distributeurs Aredje, la Zone, Chez Zelles, Maloka, Stonehenge, Active DIY Distribution, Stickfigure, Tribal War...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Text Box:  
Nabate Record
http://www.nabate.org
 
MANIFESTO JUKEBOX "desire" lp/cd: une tres joyeuse collaboration entre leur propre Combat Rock Industry et Nabate. Manifesto Jukebox produisent un punkrock rageur, alliant l'esprit des groupes tel Husker Du & Leatherface, peut-être aussi Avail ou Hot Water Music, en plus hardcore et avec un zeste de mélancolie toute finlandaise presque pop. à ne pas rater vous serez prévenu(e)s  Visitez leur site! www.combatrockindustry.com
lp re-masterisé et re-pressé fin avril!